Paroles d’aidants

“Je pense avoir besoin d’une aide psychologique mais je ne veux pas de dépenses supplémentaires”

“J’aimerais rencontrer d’autres aidants, ce serait peut-être bien”

“Je ressens une grande charge”

“Selon moi le comportement de mon proche est dû à la maladie”

“Je vois la condition de mon proche comme un fardeau”

“Je pense beaucoup à mon proche, du fait je m’oublie”

“Je n’ai plus de goût à rien”

“Je pratiquais beaucoup d’activités, j’aimais découvrir de nouvelles choses, mais désormais je ne peux plus, voir mon proche dans cet état m’empêche de participer à des loisirs”

“J’ai peur de tomber malade et que je ne puisse plus prendre soins de lui/elle”

“J’ai peu de contrôle, je n’ai pas de choix”

“C’est ainsi”; “C’est comme ça”

“Je suis nostalgique de ma vie passée”

“Je me sens chanceux(euse) de la vie que j’ai eue”

“Je le vis comme une colère”

“Il ne mérite pas ça”

“Ça me fait mal de le voir comme ça”

“Je peux surmonter ces épreuves car je suis de nature forte”

“Je ne trouve aucun enrichissement à m’occuper de mon proche. Je fais des choses que je ne faisais pas avant mais je savais que j’avais la capacité”

“Je me sens plus patient(e), conscient(e), attentionné(e)”

“Je peux considérer des enrichissements personnels à m’occuper de mon proche”

“Ma famille n’a pas à nous aider”

“Je ne dis pas tout à mes enfants/ma famille pour les protéger”

“Je n’ai pas besoin d’être sans mon proche”

“Je dois avoir mon proche à l’oeil”

“J’ai une très mauvaise conscience de laisser mon proche”

“Nous avons un lien très proche, je me dois d’être attentionné(e) avec lui/elle, à m’en négliger”

“Je dois faire avec”

“Je dois m’occuper de mon proche, c’est ma responsabilité”

“Je ne peux pas avoir d’activités physiques puisque je dois rester avec mon proche”

“Ma famille est dans le déni par rapport à sa condition”

“Les gens ont peur de la maladie et s’éloignent”

“Je peux compter sur un ami proche”

“Mes amis ne comprennent pas vraiment ce que je vis”

“Je ne veux pas déranger”

“je me sens laissé(e) par mes ami(e)s”

“Je me sens isolé(e)”